mais c qui cet enfant gaté

certains me décrivent comme "branleur", d'autres comme "sensible derrière la carapace". En tous cas, ici, s'exprimera un petit bout de moi: celui des souffrances, des fantasmes et des envies

mardi 30 mars 2010

contrairement à ce qu'on pourrait penser...

... ce qui me manque c pas d'une compagne avec qui vivre ou poser une épaule...mais juste une oreille à appeler qd je quis en mission au fin fond du trou du c..de l Europe de l'Est!

dimanche 21 mars 2010

en fait en fait...

...je crois que j aimerais être papa.........

jeudi 18 mars 2010

Qui suis je?

... Ca fait 20 ans que je me pose cette question...et ca n en finit pas de durer...serait temps que j'y réponde une bonne fois pour toute qd meme, j ai plus 20 ans, justement...

lundi 15 mars 2010

Le risque

écrit avant le 18 février

 
c qd même de s'attacher juste parce qu'elle vous prend dans ses bras et vous envoie des messages....

Mon Dieu que nous sommes faibles!


la seule solution semble donc bien d'avoir plusieurs sources de messages, de baisers et de bras

vendredi 12 mars 2010

ca se confirme...

écrit début Février


Comme promis, elle m'attend à la gare. A quelques détails près (il fait vraiment froid), le scénario se déroule comme prévu: bas, nue sous la robe. C'est parfait.
Je n'ose pas la retourner et la prendre contre la porte dès notre arrivée. Pourtant, je sais qu'elle a envie de domination, qu'elle a envie que je mène la danse. Mais même si je suis là, je ne fais que suivre, mécaniquement. C'est bien, c'est bon, mais mon esprit bloque. Pas ailleurs, non! Plutôt stressé, plutôt obnubilé par le "qu'est ce que je dois faire?", "Que veut elle?", "Qu'est ce que je veux, moi?" "Sur quoi, ai je fantasmé avant de venir?". Peur aussi. Peur de ne pas y arriver. Peur de ne pas bander, peur de ne pas lui donner autant de plaisir que sa compagne, peur de ne pas arriver à jouir. Finalement, les choses se passent. Bien. Bonnes. On y trouve du plaisir tous les deux. Sans que pour autant ce soit un feu d'artifices...
Et puis nous parlons, je m'abandonne, peu à peu, dans ses bras. Et j'ai soudain envie d'effleurer sa peau du bout des lèvres. Elle vient de me dire qu'elle est "casée", ce que je sais pourtant depuis longtemps, mais je me sens libéré. Et si je l'embrassais? juste parce que c'est bon de sentir des peaux se frotter. Et si j 'acceptais de me dire que l'embrasser ne veut pas dire "je t'aime"?  Et si je l'embrassais en éteignant le cerveau et en n'écoutant que mon corps?

Comme dans un ballet tendre et doux de langues et de peaux, de dents et de seins, de doigts, de mains... C'est doux, c'est agréable, c'est bon! Je descends peu à peu vers son sexe et pour la première fois depuis que nous couchons ensemble, j'ai envie d'embrasser vraiment ce sexe et d'y prendre du plaisir, j'ai envie, enfin, de le découvrir! Pour la première fois, surtout, j'arrête de me dire que de toute façon c'est peine perdue et que puisque les filles font ça bcp mieux que les mecs, je n'arriverai jamais à  la cheville de ce que lui offre sa compagne. Mais, non! cette fois-ci, j'ai envie d'en profiter, j'ai envie de lui en faire profiter, j'ai envie de découvrir, d'explorer, de savoir à quoi il ressemble, quel goût il a . J'ai envie que pendant quelques instants, il n'y ait plus au monde que ce sexe, ses lèvres, ce petit bouton encapuchonné, et ma langue, mes papilles et mon nez...
Et le miracle se produit: la voilà qui réagit, qui bouge, qui ondule, qui halète et qui soudain dans un gémissement me demande de venir en elle...
Et même si on a vu bandaison plus virile (c est le moins qu'on puisse dire), je la pénètre. Quelques timides AR et la voilà qui jouit, en pleurant...

Décidément, oui, pour bien faire l'amour, faut éteindre son cerveau

mercredi 10 mars 2010

je hais Annecy...

écrit début février


...même si je n'y ai jamais mis les pieds!

dimanche 7 mars 2010

Nuit alpine (retrouvailles III)

écrité début Février



Depuis nos premières retrouvailles, il y a qqs mois, il y a eu ce rendez vous manqué à Noel, puis qqs échanges de méls et de sms érotiques. Visiblement le désir est là. Mais ça nous allons le savoir tout à l'heure dans cette gare alpine où elle doit m'attendre pour une nuit unique...

Le TGV s'immobilise: elle est là, comme prévu; en jupe, comme prévu. Ses jambes sont magnifiques et penser à ce qui m'attend fait dresser mon sexe que j'ai gardé libre sous mon jean. Descente du train, bisous dans le cou, je traîne, je n'ai pas envie de parler mais je veux être le dernier à emprunter le passage souterrain... Nous descendons les escaliers. En bas, je me retourne: nous sommes bien les derniers, je l attrape par derrière, la serre dans mes bras, l'embrasse à nouveau dans le cou, me frotte contre ses fesses. Elle se laisse faire mais lorsque j'essaie de passer ma main sous sa jupe pour voir si elle a fait selon mes instructions, elle se débat, s'échappe..;"Non pas là, pas maintenant!" J'enrage!

Direction le tram. Elle s'assied en face de moi, un peu plu loin et profitant de la faible affluence en cette heure tardive, elle commence le grand jeu: je croise, je décroise, j'écarte, je remonte un peu plus ma jupe... Et j'ai la réponse à ma question: elle a effectivement suivi mes exigences: bas et pas de culotte! Apercevoir sa blonde toison dans ce tram me rend fou! Mais je me dois de rester calme, coi, et de simplement profiter du spectacle. Mon sang bout mais je me retiens de me lever et de glisser ma main dans la jupe... Allez, plus que qqs minutes! Enfin arrivés! Nous montons les étages, elle devant! Le spectacle est sublime et savoir qu'il n'y a rien d’autre sous cette jupe, whouahou! Ce coup-ci c'en est trop et sur le palier, alors qu'elle glisse la clé dans la serrure, je laisse tomber mon sac, soulève la jupe des deux mains et glisse mon pouce entre ses cuisses...

Surprise, elle pousse un timide "attend, si les voisins..." En même temps, pourtant, elle tend son cul et écarte les jambes... Le gras de mon pouce masse maintenant avec douceur ses lèvres qui s'ouvrent. Mais je ne veux la pénétrer ni avec mon pouce ni avec mon sexe qui pourtant s'impatiente. Pas maintenant! Caresses, caresses... Mon pouce explore toutes ses pétales, tous ses replis, doucement, tendrement, longuement, pendant qu'elle ondule et gémit ... Et au moment précis où mon doigt pénètre ce fruit mûr et où elle pousse un ahanement de plaisir, nous entendons le "clac" de la porte du dessus: le voisin! Je retire mon pouce, elle finit d’ouvrir la porte, je pousse mon sac à l'intérieur... Et alors qu'elle se retourne pour fermer la porte la jupe relevée à la taille, je la pénètre profondément avec mon sexe enfin libre!!!


La suite de cette nuit torride? Demain, peut-être, si vous êtes sages... Non mais!!!!

vendredi 5 mars 2010

Parisiannisme

écrit début Fevrier


Dimanche après midi.
Envie de flâner dans un lieu qui respire Paris, qui soit chaud et lumineux puisque le soleil essaye de percer en ce froid de février. Qqe hésitation puis ce sera le Louvre. Il me semble que la salle sous Pyramide doit correspondre à tous ces critères... Objectif, bouquiner et gratter qqs lignes si jamais l'inspiration vient. Métro ligne 1: bondé! ça part mal... Carrousel du Louvre: les marchands du temple se portent bien. Commercial à souhait. On en peut pas dire que je sois surpris mais voir en ces lieux, à deux pas des enceintes de Charles X et de la Joconde, les Sephora, Virgin Megastore et autres marchands de fringues... Ne pouvait on vraiment pas faire mieux? Enfin, la salle sous Pyramide... Ô Misère! Il me semblait me souvenir d'un café chaud et sympa sur la mezzanine. Je n'y rencontre qu'une misérable cafeteria à la lumière crue et aux tables métalliques en fer blanc où l'on sert de grands cafés dans des gobelets en cartons. Les balcons de la mezzanine, eux, sont remplis de chinois s'empiffrant de fritures dans des papiers gras...A l'étage en dessous, seul endroit qui donne presque envie: Starbucks Coffee!!!!!!!! Je m'y refuse! Ok à Dubaï ou à Doha mais au Louvre! à Paris! Non!!!!!!
Dépité, terriblement déçu, désabusé, je remonte dans la cour, me disant que si le Louvre a été livré aux touristes, peut-être les allées du Palais Royal ou les abords de la Comédie Française auront-ils eux su résister...
Et là, à la sortie de la Pyramide, la magie opère enfin! Soleil rasant éclairant les façades de l'aile Richelieu, reflets sur les pièces d'eau attenantes à la Pyramide, statues équestres du Caroussel se découpant sur un cile bleu émaillé de nuages roses... c'est maginifique!
Et là dans l'aile Richelieu, enfin, ce café français que je cherchais et où se presse, sur la terrasse sous les radiateurs, la bourgeoisie parisienne, élégante, en  manteaux longs et gants de cuir...

Image du Blog mikay59.centerblog.net
            Paris n'est donc pas tout à fait morte!