mais c qui cet enfant gaté

certains me décrivent comme "branleur", d'autres comme "sensible derrière la carapace". En tous cas, ici, s'exprimera un petit bout de moi: celui des souffrances, des fantasmes et des envies

dimanche 27 décembre 2009

sodomie...

...je ne donnerai pas ici de leçon, ni ne vais -désolé pour certaines lecteurs arrivés sans doute via un un moteur de recherche- faire un récit érotique sur cette pratique. Je voudrais simplement dire que cela reste sans doute parmi les moments les plus intenses sexuellement et amoureusement que j'ai vécu. Pas tellement par la sensation physique (quoique  ;-) ) mais surtout par le don de soi qu'il représente, par son symbolisme très fort du "je te prends-tu te donnes", par son coté "violence acceptée". J'avoue, il ne peut y avoir, pour moi, de réelle sodomie sans une sorte de violence, de force, (ce qui n'empêche pas la douceur). Forcer l anus d'une femme n est pas une caresse. Pour autant, bien sûr, cela ne veut pas dire lui faire mal: le but est qd même avant tout, qu'elle y prenne aussi du plaisir...
Mais une fois le moment de la pénétration -difficile- (et qui n'a plus du coup le coté magique de la pénétration vaginale qui est lui une vraie délivrance, un vrai dialogue) passé, quelle énorme sensation de n'être plus qu'un, de se sentir accueillir, de la sentir s'ouvrir au maximum pour que tu puisses la prendre, de la sentir s'abandonner, de lui donner tout, de sentir qu'elle te dit qu'elle t'appartient et de lui montrer qu'elle peut te faire confiance, qu'elle peut se donner et que tu vas la prendre, l'accepter, la faire tienne....
Alors, si je peux me permettre, je voudrais simplement dire que pour encore mieux profiter de cette fusion là, la position qui m'a laissé les plus merveilleux souvenirs, c ma donzelle allongée sur le ventre,se cambrant juste un peu pour m accueillir, moi par dessus, la pénétrant analement et l'écrasant contre le matelas en la serrant très fort dans mes bras, sans plus bouger... simplement un seul corps, prêt à tout affronter, fort, uni, unique...
Décidément des souvenirs d'Amour extraordinaires...

lundi 21 décembre 2009

ça a commencé par un frisson dans le dos...

...puis très vite une larme a coulé de mon oeil gauche et qqs minutes plus tard je m'abandonnais aux émotions, sanglotant par à coups, riant, passant de la tristesse au rire en quelques instants...
Et tout ça pour une dame...
Et quelle dame!!!! Elle s'appelle Francesca Solleville, elle chante Ferrat, Leprest, Aragon et tous les noms de la chanson française depuis 50 ans; Truffaut disait d'elle "quand une femme chante honnêtement, cela est plus beau que n'importe quoi"
Et, comme d'habitude, c'était génial, fort, prenant...
Merci Madame!

dimanche 20 décembre 2009

envie de dire "je t aime"

...une terrible envie qui me prend ces jours ci! Envie de sortir dans la rue et de crier des "je t aime", "ti amo", "te quiero", "j ai envie de toi", enfin des trucs comme ça. Une envie de prendre qqn (n importe qui) dans mes bras et de serrer très très fort...
...mais je me retiens: parait que ca se fait pas...
(et puis chaque fois que j'y pense c toujours la même image, le même visage qui revient, et le sms qui va avec: "so am I. mais te souviens tu de la phrase précédente?")

vendredi 11 décembre 2009

18 ans...

(ou presque)

c l'age qu'elle pourrait avoir, cette petite Margaux que, sans me le dire (mais lui avais je vraiment laissé le choix, lui avais je vraiment montré que j'étais capable d'assumer?), C. avait décidé de ne pas garder...
Drôle de sensation que de se dire qu'on pourrait être Papa d'une fille ou d'un fils de 17 ou 18 ans.

mardi 8 décembre 2009

déjeuner...presque hot

j'ai déjeuné avec une amie qui m'avait dit il y a qqs temps qu'à chacun de nos déjeuners communs, elle passait son repas à m'imaginer dans son lit. Alors je m'étais dit que j'allais passer le repas à lui demander ce qu'elle imaginait, à lui raconter que moi je n'avais pas envie de coucher avec elle mais simplement de la regarder se caresser et de m'en aller. Je m'étais dit que ce serait assez excitant de parler de sexe das cette brasserie où nous avons presque nos habitudes. J'imaginais les vieilles bourgeoises se retourner en nous en tendant. Je l'imaginais me raconter qqs fantasmes ou aventures qu'elle raconte parfois sur le net.
Je m'étais même imaginé, si c'était vraiment chaud, la caresser du bout du pied sous la table...
Mais rien...pas réussi à trouver le moyen de rentrer dans ce genre de conversation, pas vraiment d'envie d'ailleurs non plus...(va comprendre qqe chose à la libido toi!)
Du coup, après le repas on est retourné chacun au boulot, en se faisant la bise ;-)

samedi 5 décembre 2009

retrouvailles II

Elle m'a donné rendez vous dans ce bois qu'elle connaissait si bien dans notre enfance et où je n'ai pas mis les pieds depuis 20 ans... Mais cette fois ci "nous n'allons pas jouer aux mêmes jeux!" m'a-t-elle avertie.
Comme prévu, elle est bien là, près de ce grand pin, juste derrière la statue de la vierge... Dès qu'elle m'aperçoit, elle se retourne, pose sa tête entre ses bras le long du tronc et se cambre légèrement, tendant ses fesses et sa longue robe claire au travers de laquelle le soleil joue avec l'ombre des ses jambes. Je m'approche doucement, m'agenouille, excité par ce que je vais trouver. Je remonte le bas de sa robe jusqu'à sa taille et ce que je vois m'enchante. Comme annoncé, elle est nue. Sans doute excitée par le contact direct du tissu sur ses fesses et, peut être, par mon arrivée prochaine, elle me semble un peu nerveuse, les nerfs à fleur de peau. Je passe tendrement ma main entre ses cuisses pour atteindre son pubis et sa toison et la ramène bien à plat vers l'arrière: oui elle est physiquement terriblement excitée. Je me penche encore un peu plus, approche mon visage de ses fesses autant que ce qu'elle se cambre et approche son sexe de mon visage à son tour. Ses lèvres sont terriblement gonflées, rouge carmin, pleines de sang, écarlates et terriblement luisantes... Ce n'est plus un sexe mais un fruit aussi brillant et gonflé qu'un kaki bien mûr que l'on aurait entrouvert d'un simple coût de lame. Je meurs d'envie de le déguster, de le gouter, de le lécher, de me l'approprier du bout de la langue mais à peine j'approche un peu plus mon visage de ce fruit si appétissant, elle proteste , de la voix et des fesses. Tout juste si je peux faire un petit bisou du bout des lèvres sur ses lèvres si gonflées. J'ai compris: je me redresse, entrouvre mon pantalon, fais jaillir mon sexe de mon boxer et m approche à nouveau de ses fesses. Ce coup ci, pas de protestation... Au contraire, elle se cambre encore plus, tend ses fesses, ouvre son sexe. Je continue mon approche et puis m'enfonce doucement mais fermement, directement, sans à coup mais sans arrêt, jusqu'au fond, jusqu'à sentir mon ventre contre ses fesses, mes couilles contre ses lèvres. Elle soupire enfin, "OUI", "Accroche toi", "Viens, encore". Et comme je voudrais profiter et me reposer, elle insiste, se penche encore plus en avant, se cambre encore et se met à faire des aller-retour avec ses fesses. Je n'ai plus le choix: ce coup ci il me faut la pistonner, de plus en plus fort, de plus en plus vite, accroché à ses hanches, au rythme de ses encouragements, de ses cris.
Je sais qu'elle voudrait que je jouisse en elle, mais ça elle ne l'aura pas: je me retire au dernier moment et jouis longuement entre ses fesses, massant doucement sa petite rondelle de ma semence